Sofagate: une pétition lancée par des femmes demande la démission de Charles Michel
Source: l’Echo
Des associations de femmes européennes ont écrit au président du Conseil européen, Charles Michel, pour lui demander de démissionner après l'affaire du "Sofagate".
L’affront protocolaire ressenti mardi à Ankara par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, est inacceptable pour la Fondation Millenia, fondation internationale d'utilité publique pour l'autonomisation des femmes et l'égalité. Une pétition a été lancée pour demander la démission du président du Conseil européen, Charles Michel. En moins de deux jours, elle a recueilli plus de 2.500 signatures en Belgique, en France, en Italie et même hors de l'Union européenne.
La Fondation Millenia décrypte les "trois erreurs majeures" commises par Charles Michel lors de cette rencontre avec le chef de l'État turc Recep Tayyip Erdogan, qui, outre celui fait à la présidente de la Commission, "constituent un affront à l'égard de toutes les femmes". Pour rappel, le protocole turc n'avait prévu que deux sièges: Erdogan et Michel les ont pris, laissant Ursula von der Leyen à l'écart.
Cliquez ici pour lire l’article publié par l’Echo le 11 avril 2021.
Des associations de femmes européennes ont écrit au président du Conseil européen, Charles Michel, pour lui demander de démissionner après l'affaire du "Sofagate".
L’affront protocolaire ressenti mardi à Ankara par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, est inacceptable pour la Fondation Millenia, fondation internationale d'utilité publique pour l'autonomisation des femmes et l'égalité. Une pétition a été lancée pour demander la démission du président du Conseil européen, Charles Michel. En moins de deux jours, elle a recueilli plus de 2.500 signatures en Belgique, en France, en Italie et même hors de l'Union européenne.
La Fondation Millenia décrypte les "trois erreurs majeures" commises par Charles Michel lors de cette rencontre avec le chef de l'État turc Recep Tayyip Erdogan, qui, outre celui fait à la présidente de la Commission, "constituent un affront à l'égard de toutes les femmes". Pour rappel, le protocole turc n'avait prévu que deux sièges: Erdogan et Michel les ont pris, laissant Ursula von der Leyen à l'écart.
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